RUTH a bien malheureusement sombré. Si vous voulez vous amuser, incarner un personnage déjanté (peut être un peu moins dark que sur ruth mais tout aussi fou ), je vous conseille ce forum > http://impassedudejante.forumgratuit.fr/ Non seulement vous m'y retrouverez, héhé quel privilège, mais en plus, il est actif, amusant et complètement loufoque. A bientôt. C'était Sadie McMurphy à l'appareil, ce message s'autodétruira dans 3...2...1 seconde.
Running Up That Hill
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Que Dieu bénisse Salem. Moi j'ai 27 années. Je viens des états-unis d'Amérique. Dans la vie ? Je suis secrétaire médicale. Je suis mariée, ma vie est palpitante. Ah oui j'allais oublier je suis une Vampire.
ϟ Mon Mythe en ces lieux
Lizzie Costanzo ▬ L'amie d'enfance alias la Balance. « Luka ? Luka... Non vraiment, ce prénom ne me dit rien, z'auriez pas une photo ?... Aaaah elle ! Clarisse Jones, enfin, c'est comme ça qu'elle s’appelait quand on était môme. On était à l'école ensemble à Peoria, Illinois. C'était pas vraiment ma copine mais comme les autres filles pouvaient pas la blairer, j'ai commencé à traîner avec elle. Faut dire qu'elle avait toujours les meilleurs plans. Comme elle était canon, ça nous ouvrait pas mal de portes. Bon, j'étais pas non plus un laideron mais disons qu'en traînant avec Clarisse, j'ai pu avoir des tas de rencarts... Et boire comme un trou. C'était la belle vie, elle savait toujours comment embobiner les adultes, du coup, on faisait ce qu'on voulait. A la fin du lycée, elle a commencé à s’acoquiner avec des types louches alors j'ai pris le large... Quoi ? Elle raconte qu'elle me trouvait tarte et que c'est pour ça qu'elle ne m'a plus parlé ? Non mais quelle menteuse celle-là ! »
Dale Hannigan ▬ Le mari comblé. Et plus que cocufié. « On s'est rencontrés à New York, dans l'hôpital où je travaillais. Le soir même je l'invitais à dîner et six mois plus tard, je l'épousais. Oui, un vrai coup de foudre. Quatre ans que ça dure entre nous et même si me suivre à Salem fut un coup dur pour notre couple, je crois qu'elle commence enfin à apprécier la ville. Cela doit bien faire un an qu'elle n'exige plus de déménager. Oui, ma femme est capricieuse et lunatique mais elle sait aussi être tendre et aimante. Certaines mauvaises langues racontent qu'elle m'est infidèle mais lorsque l'on épouse une belle femme, il faut savoir partager. Et je suis très partageur, à condition qu'elle me raconte tout de ses incartades. Non, je ne suis pas un pervers dérangé, je suis pragmatique. »
Lara Belth ▬ L'ex frustrée. Et pas qu'un peu. « Dale et moi on se fréquentait avant qu'il ne quitte Salem pour faire son internat à New York. On ne s'était rien promis, mais je l'ai attendu toutes ces années. Il y a près de trois ans, je l'ai appelé, lui annonçant que le docteur Parker prenait sa retraite et vendait son affaire. Du coup, Dale est rentré au pays, ouvrant le tout premier dispensaire de la ville. Si j'avais espéré que nous pourrions nous remettre ensemble à son arrivée ? Bien sûr. Seulement, il a rapporté Luka, sa femme, dans ses valises. J'ai positivement horreur de cette traînée. Il faut voir les grands airs qu'elle se donne. Et pas aimable avec ça ! Personnellement je la trouve hideuse mais les hommes doivent aimer les nanas qui roulent du derrière en faisant la moue pour un rien. Et en plus, elle est absolument odieuse avec les patients de Dale ! J'avais bien proposé de lui servir de secrétaire, mais non, c'est sa crétine de blonde qui s'en occupe... Et puis, les personnes qui ne sourient jamais, elles me mettent mal à l'aise. Oui, depuis quelques mois, je crois bien que j'ai un peu peur de Luka... Cette façon qu'elle a de me regarder, comme si elle voulait me... Bouffer. »
Madelyn Shepard ▬ La vieille voisine hypocondriaque. « J'aimais bien le docteur Parker même si je dois avouer que sur la fin, il manquait de patience. Le nouveau docteur est vraiment très gentil, il trouve toujours ce que j'ai. D'ailleurs, je n'hésite jamais à me rendre au dispensaire même en soirée. Il a une très jolie secrétaire, toujours très élégante. Sa femme. C'est un très beau couple je trouve, je le leur dit bien souvent. Sinon, ils sont plutôt discrets, ils ne mettent pas la musique trop forte comme tous ces gens qui viennent des grandes villes. Je crois bien que leur chambre est mitoyenne à la mienne. Mais non je n'écoute pas, oh grand dieu, jamais je ne ferai une chose pareille. Mais vous savez, madame Hannigan doit souffrir d'un bien grand mal. Comment je le sais ? La pauvre petite est si pâle, les rideaux sont toujours tirés chez eux. Je crois qu'elle doit avoir cette maladie étrange... Mais si vous savez, celle où ces pauvres gens ne supportent pas la lumière. Je la plains de tout mon cœur, mais son mari saura la soigner comme il faut, c'est sûr. »
ϟ La terrible Réalité
J'ai grandi dans un bled pourri de l'Illinois, mes parents tenaient une épicerie. La seule du patelin d'ailleurs. Ma mère était du genre effacée et empotée, aussi, ce fut mon père qui m'éleva en grande partie. Je crois bien qu'il se demanda toujours comment lui et ma mère, des gens quelconques, avaient pu avoir une aussi jolie petite fille. Moi aussi je me le demande mais en connaissant ma vieille, cela m'étonnerait qu'elle eut un jour l'idée d'aller voir ailleurs. En bref, comme vous l'aurez compris, mon père était raide dingue de sa gosse, il me passa chacun de mes caprices et j'eus une enfance plutôt sympa. J'étais une élève moyenne, non pas parce que je ne comprenais pas mais parce que j'ai toujours été partisan du moindre effort.
A l'âge de dix ans, mon vieux se mit en tête de vendre l'épicerie pour se lancer dans la restauration. La crise de la quarantaine, c'est ainsi que ma mère me l'expliqua. Nous avons donc atterri à Peoria, un bled un peu plus grand que celui que nous quittions. Nouvelle maison, nouvelle école, nouveaux amis, enfin amis... Ce ne fut pas un grand dépaysement au final. J'avais déjà du mal à me lier avec les autres enfants à l'époque. Je trouvais les filles laides et les garçons stupides... En grandissant, je n'ai pas trop changé d'opinion. Les filles m'ont toujours méprisé, jalouses qu'elles sont et les garçons ont commencé à me tourner autour à l'âge de treize ans. Mon père piquait de ces crises. Fort heureusement, j'ai appris très vite à lui cacher tout de ma vie sexuelle, pour lui, j'étais un petit ange incapable de duperies et de sournoiseries. Idiot !
J'ai fait le mur, j'ai bu, fumé, et tout ça, dans la plus complète des impunités. Plutôt curieuse, j'ai expérimenté un maximum de choses en ne réfléchissant que très rarement aux conséquences de mes actes. Et puis, soyons sérieux, pour une fille comme moi, ravissante, pas trop bête et passablement allumeuse, les conséquences n'existent pas. Il y eut toujours un idiot à la langue pendante pour endosser mes fautes. Très pratique en fin de compte. A l'âge de seize ans, j'avais tout un groupe d'adolescents décérébrés collé à mes basques. Bien entendu, certains n'étaient pas des enfants de chœur et je dois dire que j'ai accumulé tout un tas de conneries à cette époque. Sans jamais me faire pincer. Forcément.
J'ai eu mon diplôme avec mention. Il faut dire que j'ai mis les bouchées doubles les dernières années histoire d'être acceptée dans une faculté lointaine. Très lointaine. Et oui, en gentille fille à son papa, il s'est sué sang et eaux pour m'offrir l'université. Je ne rêvais que de cela : Quitter l'Illinois. Définitivement. Je me suis mis en tête de faire du droit. Il faut dire qu'avoir une fille avocate, cela faisait baver d'envie les voisins, alors pourquoi pas. J'eus tout de même droit à une bourse ce qui me permit de suivre mes cours sans avoir à trimer avec un job pourri comme tant d'autres. J'ai aimé vivre sur un campus, surtout celui de NYU Law qui n'est pas trop dégueulasse. Plus encore, j'ai adoré déambuler dans les rues bondées de la grosse pomme, je me sentais enfin à ma place.
Les cours, je n'ai pas mis longtemps pour m'en désintéresser. J'avais une vie sociale bien trop intense. J'ai tout de même réussi à donner le change les deux premières années en payant quelques condisciples pour rédiger mes devoirs à ma place. L'enfance de l'art pour qui sait tirer les bonnes ficelles. Il y eut également ce professeur qui en échange de quelques faveurs eut l'amabilité de ne pas me saquer à l'oral. Oui, j'ai positivement adoré être une étudiante.
Il fallut faire les comptes pourtant. Mes petites combines finirent par ne plus fonctionner et plutôt que d'être découverte, je préférais renoncer à mes études. Je quittais le campus pour emménager chez mon amants qui habitait Harlem. Je savais ce que je valais et je n'ai jamais choisi la facilité ridicule d'un job de serveuse, danseuse voir tapineuse. Non, j'avais et j'ai toujours de l'ambition... Puisque j'avais comme qui dirait la flemme d'être assidue et de me dégotter un super travail, j'allais plutôt me dénicher un type plein aux as pour m'entretenir. Cela serait nettement plus simple, n'est-ce pas ?
J'avais vingt ans et je fus modèle quelques mois pour continuer ce train de vie à laquelle New York m'avait habitué. J'eus pas mal d'aventures avec des artistes minables, des intellectuels frustrés et d'autres étudiants clinquants mais sans avenir. J'ai vivoté, habitant chez les uns chez les autres, refusant catégoriquement de rentrer au bercail lorsque mon père me suppliait de le faire. Par contre, j'acceptais toujours sans remords l'argent qu'il m'envoyait tous les mois pour ne pas finir à la rue comme il disait... Tu parles que je menais la belle vie... Sans déconner, pas de loyer, aucun autre frais que ceux pour me distraire.
Je tombais bêtement dans le métro un jour de janvier. Plus de peur que de mal mais je finis aux urgences. J'y rencontrais Dale et aussitôt, je sus. Quoi ? Que je l'aimais ? Ne soyez pas ridicule ! Non, je trouvais qu'un beau médecin ferait particulièrement bien mon bonheur. La suite fut rondement bien menée et nous nous mariâmes dans l'année. J'en profitais pour faire changer définitivement mon prénom. J'ai toujours trouvé que Clarisse avait une consonance provinciale, je me faisais appeler Luka depuis des années, j'officialisais donc le changement. Grâce à Dale, j'accédais à quelque chose qui m'avait toujours manqué : Le statut social. Être femme de médecin, c'est ne plus s'inquiéter de rien, c'est recevoir les collègues, organiser nos vacances au soleil l'hiver et à la montagne l'été... Le paradis. Dale rêva d'enfant la première année... Je lui expliquais patiemment qu'un corps comme le mien ne pouvait être déformé par quelque chose d'aussi laid qu'une grossesse, je sus le convaincre, il laissa tomber cette idée grotesque.
Je le convainquis de se spécialiser en chirurgie... Avoir un époux chirurgien, je trouvais cela d'un chic. Il rechigna mais fit ce que je lui demandais. Au final, les deux premières années de notre mariage se passèrent admirablement bien. Un soir, un coup de téléphone changea la donne. Dale, originaire de Salem dans le Maine y avait encore quelques contacts. Une ex lui monta tellement le bourrichon qu'il se mit en tête d'ouvrir son propre cabinet là-bas... Autant vous dire que la campagne et les bouseux de mon enfance ne me firent pas grimper aux rideaux mais j'acceptais tout de même de le suivre sous réserve de n'y rester que trois ans puis de revenir à New York ! Et oui, être mariée, c'est faire beaucoup de concessions... Je ne voulais surtout pas divorcer et me retrouver avec une pension de misère. Donc, en route pour Salem. Misère.
Les premiers mois furent difficiles. Autant vous dire que Dale et moi étions en total désaccord sur tout. Je commençais à le tromper allègrement à cette époque. Pire, je ne me cachais pas. Il m'aimait bien trop pour me faire le moindre reproche. Bien entendu, Salem n'avait rien de la petite bourgade proprette auxquelles j'étais habituée. Oui, je m'y ennuyais comme un rat mort mais les meurtres et autres faits divers du coin m'amusèrent beaucoup. Les premiers temps, je ne travaillais pas, me contentant de broyer du noir dans notre maison identique à toutes les autres. Puis, j'en vins à sortir, à m'aérer et à faire quelques connaissances. Oui, on fait très vite le tour de ce bouge et avoir une vie sociale -Hors des vieillards et cancanières des environs- relève de l'exploit mais j'eus de bonnes surprises. Comme ce Straker par exemple. L'excuse de meubler entièrement ma maison dans sa boutique était pitoyable, à vrai dire, je le trouvais tout simplement fascinant. Que les autochtones le trouvent étrange me fit rire aux éclats tant je le trouvais intéressant, cultivé et charmant.
Ne rêvez pas, ce qui se passa il y a plus d'un an entre Straker et moi ne regarde que nous, vous n'en saurez pas davantage. Sachez simplement que je lui suis extrêmement reconnaissante d'avoir rendu mon existence merveilleuse. Bien entendu être vampire comporte quelques inconvénients mais au final, le soleil ne me manque pas. Et le sang ? Et bien quoi le sang... C'est absolument délicieux et je n'ai plus à m'inquiéter de prendre du poids... Voyez-vous, je conserverai mon visage pour l'éternité, n'est-ce pas merveilleux ? Si je suis devenue vampire par vanité ? A votre avis ? Et mon mari, est-il au courant ? Bien sûr, je ne suis pas une cachotière, et puis lui mentir aurait été difficile. C'est d'ailleurs Dale qui me fournit ses patients les plus atteints pour que je les suçote gentiment... Dale dit que je suis d'utilité publique... Qu'il est amusant mon époux, pas vrai ? Pour le reste... J'ai le devoir de rendre la pareille à mon créateur. Je lui suis bien plus dévouée qu'à Dale il faut dire. Qu'il ordonne et j'exécuterai bien volontiers... J'aime beaucoup lui obéir, je trouve que je suis bien plus accomplie en immortelle qu'en pauvre petite humaine pathétique.
ϟ Une fois révélé
PRENOM/PSEUDO : A pô ^^ PAYS : France. COMMENT AS-TU CONNU RUTH ? Par Best of RPG. AVATAR : Natalia Vodianova. CODE DU REGLEMENT : VALIDEEEEE PAR RAICHU UN DERNIER MOT ?
Dernière édition par Luka Hannigan le Mar 14 Juin - 16:04, édité 10 fois
SHOW ME YOUR TEETH Arrivée à Salem : Elle y est née, puis absence de presque dix ans Votre avis sur les évènements ?: Adresse:
Sujet: Re: My name is Luka, I live upstairs from you. Lun 13 Juin - 20:52
Bienvenue sur le forum, miss Avec la belle Natalia en plus *o* Je te souhaite donc un très bon séjour parmi nous. N'hésites pas si tu as des questions à poser, ma boîte MP est graaande ouverte. En attendant, j'ai validé ton code, et j'ai hâte de voir le reste !
SHOW ME YOUR TEETH Arrivée à Salem : depuis le jour de ma naissance et au rythme où vont les choses jusqu'au jour de ma mort ... Votre avis sur les évènements ?: Adresse:
Sujet: Re: My name is Luka, I live upstairs from you. Lun 13 Juin - 21:05
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Sujet: Re: My name is Luka, I live upstairs from you. Mar 14 Juin - 7:15
Alors a priori, celle qui prévoyait de prendre Natalia n'a pas entamé sa fiche ni donné signe de vie, donc tu peux la prendre, pas de souci ^^ Est-ce que tu veux qu'on te la réserve ?
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Sujet: Re: My name is Luka, I live upstairs from you. Mar 14 Juin - 10:35
Ça marche, pas de souci
Bon courage pour la fiche alors !
Seosaph E. O'Cahan
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Sujet: Re: My name is Luka, I live upstairs from you. Mar 14 Juin - 16:03
Moi j'aime les vampires femelles en c'moment. *out* Bienvenue à toi et bon courage pour la fin de ta fiche même si elle m'a l'air bien entamée. J'ai hâte de lire tout ça. *-*
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Sujet: Re: My name is Luka, I live upstairs from you. Mar 14 Juin - 16:08
Ca tombe bien, je viens de finir ^^ Sauf si j'ai oublié quelque chose... Sans doute *Tête en l'air*
Merci de l'accueil Seosaph J'aime beaucoup les messieurs à quenottes également *Sifflote*
Straker
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Sujet: Re: My name is Luka, I live upstairs from you. Sam 18 Juin - 12:27
Alors, à nous !
Bon, déjà je te prie de m'excuser pour le retard, je consulte jamais ma boîte MP (a) (la vérité, c'est qu'on ne se connecte avec Strake que pour les tâches admin, alors vaut mieux MPotter nos comptes joueurs pour avoir une réponse rapide ^^). Ensuite, la fiche. Euh, rien à dire. Franchement. J'ai tout lu d'une traite, sans m'arrêter, et j'ai adoré. Quelle parfaite garce, c'en est fabuleux ! Enfin, quand on dit garce ... M'est avis qu'elle est pas la seule (a) Donc, voilà, c'est tout parfait, on a toutes les informations, sans fautes d'orthographe (une ou deux coquilles mais ça arrive à tout le monde, et ça se perd dans le texte). J'ai donc l'immense honneur de te valider \o/
Je t'ajoute donc à ton groupe, n'hésites pas à faire tes sujets de liens et tout ^^