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RUTH a bien malheureusement sombré. Si vous voulez vous amuser, incarner un personnage déjanté (peut être un peu moins dark que sur ruth mais tout aussi fou ), je vous conseille ce forum > http://impassedudejante.forumgratuit.fr/ Non seulement vous m'y retrouverez, héhé quel privilège, mais en plus, il est actif, amusant et complètement loufoque. A bientôt. C'était Sadie McMurphy à l'appareil, ce message s'autodétruira dans 3...2...1 seconde.
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SEOSAPH ϟ We are each our own devil, and we make this world our hell.

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Seosaph E. O'Cahan
Seosaph E. O'Cahan

Sharp fangs & Troubled mind

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Points : 128


SHOW ME YOUR TEETH
Arrivée à Salem : depuis combien de temps êtes-vous là ?
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MessageSujet: SEOSAPH ϟ We are each our own devil, and we make this world our hell. SEOSAPH ϟ We are each our own devil, and we make this world our hell. EmptyJeu 28 Avr - 9:34


Seosaph Emmet O'Cahan





Paroles de commères

Moïra O'Cahan ▬ Mère anxieuse et illusionnée
« Mon fils est parti trop tôt. Vous imaginez mon unique fils partir pour les États-Unis ? Moi qui n'ait jamais vu plus loin que l'Atlantique, je dois supporter ce départ. Bien sûr qu'on se le dise, supporter Seosaph n'est pas une sinécure. Loin d'être un adolescent à problème, il a plutôt été de ceux qui veulent vivre comme ils l'entendent. J'ai dû m'y résigner, il ne deviendrait ni avocat ni médecin. Sa passion c'était la photo et c'est bien à cause de ça qu'il nous a quitté. Il est un peu lui-même comme un image: au premier abord on discerne d'abord les failles, les défauts, une vue d'ensemble qui plait ou qui ne plait pas. Puis après il faut connaitre la photo, la revoir et la revoir, s'interroger sur elle et puis on comprend que derrière ce noir et blanc manichéen, derrière cette apparente froideur qu'il met toujours en avant, se cache quelqu'un qui peut vous plaire au final. Seosaph est poli, et quand je dis poli, je dis qu'il ne manque pas de respect jusqu'à ce qu'on lui donne une raison de le faire. Il n'est pas bagarreur, il aime tester ceux à qui il s'adresse. A l'époque, il était très famille, d'ailleurs n'a-t-il pas embarqué sa cousine favorite dans l'aventure ? Il est attentionné et derrière ses airs de je m'en foutiste, il peut souvent se préoccuper de quelqu'un. Comme tous les garçons de son âge, il exprime rarement ce qu'il ressent et malheureusement quand il le fait, c'est dans la violence et dans des mots maladroits. Il me manque mon Seo, j'espère que là-bas, il s'est assagi... »

Jason Gave ▬ Employeur du bar de Salem
« Ah le petit O'Cahan ! C'est pas un cadeau celui-là, je peux vous le dire. L'Européen qui débarque comme ça avec sa petite mèche bouclée sur le front et qui exige presque que je lui donne du boulot: il avait un de ces culots que je n'ai pas pu résister à le mettre à l'essai ! Il faut se dire que les clients de Salem ne sont pas toujours des enfants de coeur... Et croyez-le ou pas il s'en est très bien sorti. Faut pas croire les Irlandais ont le goût de la boisson mais ils connaissent surtout par cœur ceux qui y trempent. Ca fait maintenant quelques années qu'il travaille pour moi et bien des choses a changé. Je ne sais pas si c'est le mal du pays mais depuis quelques mois, il se renferme. Déjà qu'il était plutôt arrogant, il me fait perdre davantage de clients qu'à son arrivée. Maintenant, je l'ai mis de nuit. Allez savoir pourquoi il a l'air de mieux supporter les clients bourrés du soir que de la journée. Soit. Avec la paranoïa qui court les rues, du moment qu'il change les idées et qu'il fait son boulot, je n'ai rien à lui reprocher. Quand il rigole avec les autres, c'est toujours avec un certain cynisme et ce faible sourire en coin. Il parait que ça fait craquer les petits lycéennes le charme irlandais mais j'y crois pas une seconde. Nan mais quand même ce gamin ne bronze jamais, on me la fait pas à moi ! Attendez, je vous laisse, voilà qu'il en rembarre un autre... »

Tell me more, tell me more ♫


Childhood in Irish land.

10 mars 1996
« Seosaph Emmet, revenez là tout de suite ! » En général, quand la maternelle s'époumonait à vous appeler par tous vos prénoms, c'est que les réprimandes n'étaient pas loin et pourtant... L'intéressé tourna ses yeux bleus un instant vers la maisonnette qui lui faisait office de refuge avant de détaler comme un lapin qu'on prenait en chasse. L'enfant d'une dizaine d'années courut sans relâche à travers les plaines verdoyantes, manquant parfois de trébucher dans les quelques ronces qui entravaient sa route. Il courait sans même se soucier des nouveaux appels de Moïra, à la fois inquiète et désespérée. . C’était ça le quotidien du petit Seosaph. Quand on a 10 ans, qu’on sort d’une école dublinoise des plus ennuyeuses, une seule envie lui prenait la gorge : dès lors qu’il apercevait sa maison au loin du petit chemin de terre, il jetait son cartable par terre et finissait par s’enfuir à nouveau dans les collines voisines. Bien sûr, il avait pris soin d’emporter avec lui le petit appareil jetable que sa mère lui achetait régulièrement. Elle avait même fini par faire un stock conséquent, dissimulé dans un placard. Seosaph n’aimait pas le sport –tout juste se laissait-il tenter par une partie de basket-, il n’aimait que peu lire et s’en contentait avant de dormir. Non, ce qui l’intéressait c’était photographier tout ce qui le fascinait : de travers, bien souvent flou, mais le garçon était capable de demeurer des heures durant sans même se soucier de l’anxiété de la famille. En parlant de famille, le tableau est vite dressé : Seosaph Emmet était fils unique. Ni frère ni sœur. Allez savoir si devant la turbulence du premier, les parents n’avaient pas été découragés à l’idée d’un deuxième mais il demeura seul. Par chance, la famille O’Cahan était plutôt grande. Les repas de famille qui réunissaient tout le monde pouvaient aisément atteindre la centaine de chaises. Il ne parvenait jamais à retenir le prénom de tout le monde, et distrait comme il était, Seo souriait et se contentait d’éteindre ses petits cousins et cousines. Parmi eux, une seule chevelure rousse flamboyante avait retenu son attention : Saoirse. De deux ans sa cadette, il n’hésitait pas à se comporter avec elle comme un frère et elle devenait l’unique privilégiée qui avait le droit de le suivre dans ses escapades ou même devenait-elle parfois modèle de ce photographe prématuré. Avec le souffle court, Seosaph parvint à son endroit préféré. Il se laissa tomber sur l’herbe fraiche du soir et afficha un sourire béat. Il se sentait à sa place dans cette nature luxuriante et sauvage que personne n’avait jamais réussi à dompter. Rampant jusqu’au petit cours d’eau qui bordait l’endroit, il dégaina ensuite son appareil puis approcha son œil de l’objectif. L’eau reflétait la scène et également le bien-être qui se dégageait du garçon. D’un geste précis, il appuya sur le déclencheur qui s’exécuta d’un petit flash court. Après avoir savouré quelques instants son œuvre, Seosaph finit par se redresser. Alors qu’il tentait d’éliminer les traces de boue qu’il avait allégrement provoquées, il entendit une nouvelle fois son prénom mais d’une voix plus masculine et autoritaire. L’heure était venue et cette fois-ci, ce fut en direction de la maison que le garçon détala comme un lapin.


Welcome in Salem.

07 août 2004
« Vous partez comme ça ? » La voix tremblante et angoissée des différentes images qui défilaient à son esprit, Moïra s’échoua sur la première chaise qui lui venait sous la main. D’un geste fébrile, elle passa sa main sur son front dans l’espoir d’y voir plus clair. Son fils l’abandonnait comme ça, à peine la majorité atteinte. Et ses études, sa carrière, son avenir qu’en était-il ? Si encore il prenait son envol seul peut-être aurait-elle pu s’y faire, mais venait-elle à peine d’apprendre qu’il embarquait sa cousine Saoirse de 17 ans à peine avec lui qu’elle se sentait déjà hyperventiler comme elle faisait lorsqu’un film à l’eau de rose l’atteignait au plus profond de son être. Devant elle se tenait un jeune homme, un air à la fois compatissant et beaucoup trop fier sur le visage. Ses yeux bleus, légèrement barrés par une grosse boucle tombante aux reflets cuivrés, contemplaient sa mère avec un regard qui en disait long et qu’elle seule pourrait déceler. Il était déterminé et imperturbable. Les Etats-Unis n’étaient-ils pas le meilleur endroit pour faire carrière ? A ses pieds, étaient posées plusieurs valises cabossées et usées : celles de la famille et très certainement il les rendrait des années plus tard. Au-dessus d’elles était posé avec une précaution maniaque un petit boitier noir davantage lourd que tout ce qu’il emportait. A l’intérieur, la raison de tout ce tapage : son appareil photo, le fruit de grosses économies pour lesquelles il avait dû s’astreindre à des petits boulots dégradants et une autorité qu’il ne supportait pas, ainsi que quelques objectifs qu’il avait réussi à obtenir à un bon prix. La verdure irlandaise était bien belle et pure mais elle n’intéresserait que provisoirement les grands critiques de l’image. Seosaph avait besoin de nouveaux horizons, tout comme sa cousine Saoirse qui avait elle-même tenu à l’accompagner avec un enthousiasme presque plus grand que le sien. Se baissant pour atteindre la hauteur de sa mère assise, Seo posa ses grandes mains fines sur ses genoux puis il lança : « Tu sais que ça ne me retiendra pas tes larmes, mathair. » Scellant des paroles qui pouvaient apparaitre cyniques, il lui adressa un sourire qu’étrangement sa mère lui rendit. Les larmes aux yeux, elle saisit la tête de son fils et embrassa ce front qu’elle avait tant de fois baisé.
Ce souvenir lointain aurait pu paraitre allègre et lui redonner du baume au cœur mais il n’en était rien. Alors qu’il enfilait l’espèce de marcel noir informe qui portait le nom du bar où il travaillait, nom qui commençait doucement à s’élimer, son visage autrefois espiègle se fermait en une concentration sérieuse et fermée. Depuis plusieurs mois, il avait trouvé du travail en tant que barman. Non pas que ce job le déplaisait –quoique supporter des ivrognes à longueur de journée n’était pas vraiment ce à quoi il aspirait-, mais c’était plutôt l’endroit dans lequel il logeait qui l’oppressait. Salem. Ouais, le Maine. Seosaph n’avait pas été contre au début, une petite ville calme d’apparence ne pouvait qu’être profitable pour démarrer dans la vie. Saoirse et lui étaient jeunes, ils n’avaient pas les moyens de s’offrir les grandes métropoles. New York, ça serait pour plus tard. Beaucoup plus tard. « Seosaph tu comptes arriver en retard comme à ton habitude ou bien ? » La voix à la fois douce et moralisatrice de sa cousine retentit et l’extirpa difficilement de ses songes. Tandis qu’il empoignait ses affaires pour atteindre la porte de la vieille bicoque qui leur servait d’habitat, il lança ironiquement à son intention : « Tu sais le jour où j’ai besoin d’une mère, je repartirai pour Dublin ! Bonne soirée chère cousine. »


No reflect in the mirror.

Aujourd'hui

« Une autre l’Irlandais et fraiche cette fois-ci ! » Le visage blême, ledit Irlandais Seosaph laissa échapper un soupir exaspéré avant de s’exécuter. De quelques gestes rapides et précis que le client eut à peine le temps de distinguer, il avait sorti un verre large qu’il avait rempli d’un liquide doré qu’il agrémenta d’eau et de plusieurs glaçons. Nonchalamment, il poussa la boisson jusqu’à l’homme qui ricana d’une voix grasse avant de s’emparer de son précieux. Sans un mot, le barman s’éloigna et profita d’un moment de répit pour souffler. Une main tremblante essuya son front d’où perlaient quelques gouttes de sueur. Sa respiration se saccadait au fur et à mesure de la soirée mais qui était là pour le remarquer tant les habitants présents dans le bar ne vivaient que pour leur personne. Sans cesse, ses yeux d’un bleu irréel s’agitaient et furetaient les moindres recoins de l’endroit lugubre. Personne ne prêtait attention c’était parfait. Et pourtant, il en avait irrésistiblement besoin. Allait-il survivre jusqu’à la fin de la soirée, il commençait à en douter. Un collègue tapa sur son épaule pour sonner une courte pause. Il n’en fallut pas plus à Seosaph qui s’éclipsa rapidement à l’arrière du bar. Ouvrant la fenêtre minuscule de l’espèce de cagibi, il extirpa de sa poche un paquet de cigarettes. Il s’en servit une qu’il alluma immédiatement afin de la porter à sa bouche. Après une grande bouffée, il approcha son visage de l’air frais de la nuit qui frappait sa peau. Il ne ressentait rien, pourquoi se forçait-il encore à essayer ? Même la fumée agressive de la cigarette qu’il aspirait ne brûlait pas sa gorge, tout juste l’odeur parvenait-elle à dissimuler l’arôme appétissant qu’il humait à présent depuis des heures. Il tremblait de plus en plus, comme sous l’effet d’une fièvre puissante. Le contrôle qu’il tentait désespérément de conserver filait au compte-goutte et Seosaph redoutait déjà l’issue de cette soirée. Continuant de consumer sa cigarette, il ferma les yeux pour vider son esprit.

La nuit était noire, à croire que la lune avait décidé de priver les habitants de Salem de sa lueur réconfortante. Seosaph avait fini sa journée avec soulagement et voilà qu’il était sur la route du retour. A la main, il tenait quelques douceurs enveloppées qu’il avait achetées plus tôt afin de les partager avec sa cousine. Il savait que ce n’était pas toujours rose pour cette femme ambitieuse ici et il tentait de lui rendre des jours plus heureux par des petites attentions. Il s’était emmitouflé dans un gros manteau en laine alors que le mois d’hiver faisait rage dans le Maine. Sans un mot, il passait devant les boutiques qui ne tardaient pas à fermer si toutefois elles ne l’étaient pas déjà. Soudain, s marche s’arrêta net devant l’une d’entre elles. La fameuse tenue par deux intrigants personnages qui n’avaient pas manqué de faire leur réputation au sein de Salem. Des balivernes de la plus haute naïveté selon l’Irlandais qui scruta d’un œil espiègle la vitrine à la recherche d’une présence. Ne voyant personne, il entrouvrit la porte qui enclencha le son presque inaudible d’une clochette puis d’une voix ironique et moqueuse, il lança dans la pièce vide : « C’est tellement effrayant… Au moins, ils vont de paire avec les antiquités qu’ils vendent : des vieilles ruines qui n’ont plus aucune valeur. C’est vraiment de l’escroquerie. » Levant les yeux vers la caisse qui était dénué de tout tenancier, il parla une nouvelle vois dans le vide : « Profitez bien de la vie et du temps qu’il vous reste à Salem, les vieux, je doute que vous fassiez encore affaire longtemps ici. » Avec un sourire satisfait, Seosaph recula puis reprit sa route. Il ne comprenait pas tout le tapage qui tournait autour d’eux, quand bien même leurs affaires étaient douteuses, qu’est-ce que ça pouvait bien leur faire à ces commères ? Salem vivait sur les rumeurs, le conservatisme pieux et les extravagances farfelues de chaque habitant, il fallait s’y habituer tôt ou tard… Alors que Seosaph tournait enfin dans une ruelle sombre pour atteindre sa maison après de longues minutes, il stoppa net. Il laissa tomber les mets enveloppés tandis que, par une force inconnue, il se sentit surélevé du sol. Une main blafarde et puissante se referma sur sa gorge dans une poigne qui manqua de l’étouffer. Alors que ses yeux bleus se plissaient à la recherche d’un détail sur l’agresseur, il sentit un souffle glacial sur sa nuque tandis qu’on le humait. Un faible rire retentit à ses oreilles affolées puis à la suite d’un coup, le trou noir prit place à son esprit. « Les agitateurs prétentieux, tu vas voir ce que j’en fais… »

« O’Cahan on te demande au bar ! » « Deux minutes, c'est possible ? » Seosaph ne sursauta pas. Il l’avait entendu arriver des mètres à la ronde. Jetant le mégot qui était terminé depuis quelque temps maintenant, il se frotta le visage avant de replacer sa boucle rebelle. Il avait beau vouloir la couper, elle demeurait toujours la même comme lors de cette soirée-là. Atteignant une bouteille de whisky, il recueillit quelques gouttes qu’il déposa près de ses narines puis le long de ses poignets. L’odeur était écœurante, asphyxiante et persistante. Et pourtant elle allait étouffer cette odeur alléchante. Elle était son salut. Son salut jusqu’à ce qu’il ne finisse de travailler. Son salut jusqu’à ce qu’il ne se glisse dans la pénombre pour aller rejoindre les siens. Son salut jusqu’à ce qu’il ne plante ses crocs dans une chair fraiche et sanguinolente pour assouvir la soif irrépressible qui le tiraillait depuis qu’il avait rejoint le monde des humains ce soir. Le salut éphémère d’un vampire monstrueux, une bête malgré lui.



Derrière l'écran

PRENOM/PSEUDO : Dandan aux commandes.
PAYS : Extraterrestre française.
COMMENT AS-TU CONNU RUTH ? Par Bazzart, pardi. I love you
AVATAR : Aaron Johnson !
CODE DU REGLEMENT : DRACOULA EDITÉ PAR SADIE fantome
UN DERNIER MOT ? Bravo encore. Wink


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Straker
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Avatar : x
Crédit : White Rabbit

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SEOSAPH ϟ We are each our own devil, and we make this world our hell. Empty
MessageSujet: Re: SEOSAPH ϟ We are each our own devil, and we make this world our hell. SEOSAPH ϟ We are each our own devil, and we make this world our hell. EmptyMer 11 Mai - 19:45

NYAHAHAHA. A TON TOUR. seosaph

Bon, en vrai, tu sais déjà ce qu'on en pense. C'est bien écrit, c'est une chouette histoire, et j'aime beaucoup Seosaph, arrogant et paumé (oh, allez, moi je trouve qu'il l'a cherchée, sa transformation) et sa rousse cousine, que j'ai hâte de voir débarquer.

Te voilà donc validé officiellement .... Et tu es déjà placé dans ton groupe, donc tout va bien ! Je te souhaite donc un très bon séjour sur le forum, huhu. Je te laisse visiter pour les liens, les demandes de logement, de rang et tout, mais je crois que t'es déjà comme chez toi Very Happy

A très bientôt en RP !
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SEOSAPH ϟ We are each our own devil, and we make this world our hell.

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