RUTH a bien malheureusement sombré. Si vous voulez vous amuser, incarner un personnage déjanté (peut être un peu moins dark que sur ruth mais tout aussi fou ), je vous conseille ce forum > http://impassedudejante.forumgratuit.fr/ Non seulement vous m'y retrouverez, héhé quel privilège, mais en plus, il est actif, amusant et complètement loufoque. A bientôt. C'était Sadie McMurphy à l'appareil, ce message s'autodétruira dans 3...2...1 seconde.
Running Up That Hill
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« Curiosité, indiscrétion ou secret mal gardé ? Les journalistes, on ne peut vraiment rien leur cacher ! »
Les journalistes, ils font notre bonheur, ils font leur malheur. Vous pensiez être tranquille, dans votre petite ville paisible de Salem, à l'ombre de la perfidie du monde extérieur ? Vous risquez d'être surpris, pire, pris au dépourvu. Les journalistes ne se ressemblent pas tous, certes, mais ils ont des fins semblables, au fond. Vous sondez. Vous découvrir. Explorer votre vie, votre entourage. Ils veulent tout savoir. Et méfiez vous de nos deux arrivants. En plus de vouloir tout savoir, ils veulent tout comprendre. Jake Hawkins vous séduira, avec son côté mystérieux, silencieux, solitaire. Il fait ses recherches de son côté, avec ses centaines de livres venus d'un peu partout sur un peu tout. Et ses méthodes d'investigation sont loins d'être perverses, au contraire de la jeune April Scott. Cette dernière, énergique et intrépide, n'hésitera pas à vous poser les questions les plus indiscrètes, les plus dérangeantes. Oh, elle n'en a pas forcément contre vous. Elle veut juste tout avoir avant tout le monde. Elle est déterminée et, comme son collègue Jake, elle est prête à tout pour connaître les petits secrets de Salem. De votre ville.
Mais n'oubliez pas ce qu'a dit un jour Jean Renard.« Le comble pour un journaliste, c'est d'être à l'article de sa mort. » Ce serait dommage de s'attirer les foudres de quelques... malfaiteurs, à force d'être trop curieux...
Dernière édition par Straker le Dim 1 Mai - 16:27, édité 3 fois
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Sujet: Re: LES JOURNALISTES Dim 1 Mai - 16:21
JAKE HAWKINS
Chacun son histoire
Jake a vu le jour dans une petite clinique de Londres, le neuf février 1980. Il était le premier enfant de Melinda Hawkins, dont le nom de jeune fille était Smith, et de Rooney Hawkins. La première était une institutrice en école publique, très appréciée pour sa douceur, sa gentillesse et sa dévotion. Le second, Rooney, était un homme d'honneur et de parole autrefois, jusqu'à ce qu'il soit complice dans une affaire d'escroquerie à la banque où il travaillait. Bien sûr, il fut viré, et ne trouva un job que quelques mois plus tard, dans un garage. Régression sociale que l'homme ne supporta pas, il se lia peu à peu aux bouteilles d'alcool, tandis que son garçon apprenait à faire ses premiers pas dans les bras de Melinda. Cette dernière était impuissante face à la nouvelle addition de son époux, tout comme à ses sautes d'humeur, et à sa violence nouvelle. Mais comme elle disait, "tant qu'il ne touche pas Jake...". Melinda donna naissance à une petite fille lorsque Jake avait un peu plus de deux ans. Lynn Hawkins. Les deux enfants furent très proches, dès la naissance de celle-ci. Toute leur vie, ils pourront compter l'un sur l'autre. Les années passèrent, l'était de leur père ne s'améliora guère, au contraire. Jake obtenait toujours de bons résultats à l'école, et principalement dans les matières littéraires. Il adorait lire, et même écrire, n'importe quoi, mais il aimait ça. A l'âge de neuf ans, sa mère appris qu'elle avait un cancer. Leur père s'enfuit avec une autre femme. Le trio de Lynn et lui avec leur mère se renforça comme jamais. Elle avait besoin d'eux, ils avaient besoin d'elle. Le jeune Hawkins fêta rapidement ses dix-huit ans, après quoi il partit faire une école de journalisme. Ses résultats étaient toujours aussi excellent, il participa même à la création du propre journal de l'école. Au bout de plusieurs années, il obtint son diplôme et fut recruté dans la rédaction d'un journal à Londres. Il avait la vie parfaite, malgré son côté très solitaire. Il comptait ses bons amis sur les doigts d'une main, et était loin de s'en plaindre. La question est : pourquoi a-t-il ressenti le besoin d'aller dans cette petite ville paumée qu'est Salem, au fin fond du Maine ? La réponse est très certainement ce besoin de tranquillité. Enfin tranquillité relative, car ce qui l'a aussi attiré à Salem, ce sont ses sois-disantes histoires surnaturelles... Jake a toujours été un passionné de ce genre d'histoires et à vrai dire, ça le fascine. Il veut découvrir la vérité, quelle qu'elle soit.
Langues de vipères
Lynn K. Hawkins, sœur de Jake.
« Quand je suis née, Jake avait déjà sept ans. Il est mon seul frère, je suis sa seule soeur, et ça nous convient parfaitement. Je n'aurais pas pu être fille unique, tout comme je n'aurais pas pu avoir d'autres frères ou d'autres soeurs et je pense sincèrement que Jake est du même avis que moi. Maman avait dû bien le préparer à mon arrivée dans ce monde, car j'ai le souvenir d'un frère toujours aimant, toujours aux petits soins pour moi comme pour notre mère. Je ne parle pas de notre père car celui-ci a décidé de partir le jour où il a appris que notre mère était atteinte d'un cancer. Enfin, ce jour-là, il en a plutôt profité pour lui annoncer qu'il était tombé amoureux d'une autre, que cela faisait plusieurs semaines qu'il la trompait, et qu'il nous trompait nous, par la même occasion. J'avais deux ans, Jake neuf ans, et cette histoire le remua bien plus que moi. Depuis ce jour, il n'a cessé de veiller sur nous. C'est douloureux de dire ça, mais c'est sûrement la maladie de maman qui nous a autant rapproché, lui et moi. Aujourd'hui encore, on s'envoie régulièrement de longues lettres où il me raconte sa petite vie tranquille dans Salem. Selon lui, il se passe des choses pas nettes là-bas, et il enquête secrètement dessus tout en faisant son job de journaliste mondain. Je respecte énormément mon frère, pour toutes les décisions réfléchies qu'il prend, pour sa générosité. Notre mère est décédée il y a maintenant cinq ans, à la suite d'un second cancer. Heureusement que je n'étais plus une enfant, sinon il serait venu s'occuper de moi comme un père le ferait. Ce que je lui reproche souvent, c'est son côté si mystérieux, et il est si solitaire. J'aimerais tant qu'il se trouve une jolie femme. Il n'y pas de beaux partis, à Salem ? »
April E. Scott, collègue.
« Cet Hawkins est une sorte d'ermite qui ne se sent à l'aise que dans ses tonnes de bouquins. Je ne dis pas qu'il n'est pas professionnel, il accomplit justement tout son travail à la perfection, sans trop sortir de chez lui, c'en est même déconcertant. Quand je lis ses articles journalistiques sur les actualités de la ville de Salem, je ne peux qu'apprécier son style littéraire léger, subtile, parfait. D'ailleurs, c'est un bel homme, séduisant et énigmatique qui doit faire chavirer plusieurs femmes au simple coup d'oeil. Peut-être a-t-il ses informations ainsi ? Non, cela me semblerait étrange, venant de lui. Mais c'est à se demander s'il a une vie ? Et quel genre de vie ? C'est rare de le voir rigoler ou même sourire, je crois même que je ne l'ai jamais vu rire à mes plaisanteries. Au fond, il a l'air sympathique, mais il faudrait sérieusement qu'il songe à sortir un peu de ses livres. Il me file sérieusement le cafard. Heureusement, nous ne sommes pas concurrents, j'aurais eu affaire avec du lourd, sinon, car il ne doit pas sortir son diplôme de n'importe où celui-là. Bon, si cela ne vous dérange pas, je retourne à mes affaires, qui sont, entre nous, bien plus intéressantes que cet Hawkins ! »
Dans un nid de serpents
April Scott feat Olivia Wilde Tous les deux, ils sont complémentaires, si on veut. Jolie façon de dire qu'ils n'ont presque rien en commun. Que ce soit au niveau de leur personnalité ou même de leur style journalistique. De toute manière, leur boulot n'est pas le même. Jake pense qu'elle n'est qu'une femme à ragots ; elle pense que Hawkins est une espèce d'ours solitaire trop sérieux. Mais au fond, ils pourraient s'apprécier, s'ils essayaient. Encore faudrait-il le vouloir et faire le premier pas. April est surtout bonne à le charrier et lui envoyer des piques. Mais tout ça n'est que surface... Qu'en adviendra-t-il ?
Alessandro Moore feat James Franco Pour tout journaliste qui se respecte, faire éclater la vérité n'est plus une bonne chose mais un devoir ! Jake lui a toujours été efficace dans son travail et il compte bien le rester. Alors qu'il semblait se lier d'amitié avec cet Alessandro, un homme respectable aux allures de grand gaillard, il a tout de suite senti qu'il était souvent sur la défensive. Quand on mène une vie aussi belle, comment peut-on avoir envie de la dissimuler aux autres ? On est dans une petite ville, pourquoi ne s'en vante-t-il pas ouvertement ? Il s'est alors juré de trouver la vérité. Sauf qu'il s'entend bien avec cet homme, comment peut-on avoir envie de le côtoyer et de le trahir à la fois ? Là est tout le mystère du journaliste. Alessandro, lui, demeure fidèle à lui-même, plein d'assurance quant à son secret bien gardé. Il ne vendrait sa peau pour rien au monde, quitte à manipuler.
Dernière édition par Straker le Dim 1 Mai - 16:25, édité 2 fois
Straker
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Sujet: Re: LES JOURNALISTES Dim 1 Mai - 16:22
APRIL SCOTT
Chacun son histoire
La famille Scott, c'est le jackpot. William Scott, futur lieutenant dans l'armée de terre, épousa la séduisante Nadia Hadley, à l'époque interne en chirurgie dans un hôpital de New York. Elle parvint à son but quelques années plus tard, à savoir être chirurgienne. Autant dire que le couple gagnait plutôt bien sa vie, et c'est peu dire. Le couple eut quatre enfants. La première, notre fameuse April, le second, Jacob (vingt-cinq ans), puis les deux dernières, des jumelles de vingt ans aujourd'hui, qui répondent aux prénoms de Madison et d'Eliza. April et Jacob ont toujours entretenu de très bons liens familiaux, tandis que les deux jumelles elles, restaient le plus souvent entre elles. La différence d'âge ne doit pas y être pour rien. Quoi qu'il en soit, les Scott ont toujours été une famille soudée. Le père, souvent absent à cause de son travail, ferait tout pour ces enfants. Le jour où April obtint son diplôme en école de journalisme, le père de William, déjà veuf, décéda de vieillesse. Étant fils unique, William remporta, n'ayons pas peur de le dire, le gros lot par le biais de cet héritage.
April fut embauchée pour la rédaction d'un journal du type tabloid, en résumé le journal qui cherche tous les potins sur telle ou telle célébrité, et à vrai dire, elle était parfaite pour ce métier. Toujours à l'affut des dernières nouvelles, avec ses questions pointues et indiscrètes, April contenta parfaitement ses patrons. Mais la brunette se lassa bien vite de toutes les histoires à scandale de New York. Alors qu'elle venait de se fiancer avec une jeune journaliste, elle décida de partir de la ville. La peur de s'engager et le désir de mystères. Une amie lui parla de cette petite ville de Salem, dans le Maine, où des choses étranges se passeraient de plus en plus, effrayant ses habitants... April fut attirée, captivée par ces histoires. Deux jours plus tard, elle quittait son travail à New York pour aller faire ses propres enquêtes à Salem... Pour le plus grand malheur de certains habitants de la ville. Elle fera vite la connaissance du beau Jake, l'autre journaliste énigmatique de la ville.
Langues de vipères
Daniel Clarke, employeur d'April.
« Cette femme est une vraie pile électrique, toujours de l'énergie à revendre ! Cela a été une épreuve pour moi de la laisser partir pour cette petite ville de Salem dans le fin fond du Maine. A New York, elle nous était d'une aide précieuse. Avec elle, on était toujours surpris, mais dans le bon sens. Épatante, douée, April a tout pour elle, ou en tout cas, tout pour être une parfaite journaliste d'investigation. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle n'a pas sa langue dans sa poche. Elle n'hésite jamais à dire ce qu'elle pense et a de nombreuses astuces pour obtenir ce qu'elle veut et moi, c'est ce que j'attends de mes employés. Elle a un style littéraire direct, cru. Elle ne passe pas par trente-six chemins pour dire quelque chose. Allez savoir pourquoi elle s'est exilée dans le Maine ? Je crois que c'est une proche à elle qui vit là-bas qui l'y a invitée, ou alors qui lui a proposé de s'y rendre pour je ne sais plus quelle raison... J'espère qu'elle ne s'ennuie pas trop dans ce coin paumé, et qu'il y a de bons ragots pour elle, car elle ne se nourrit que de ça. Mais vous savez comme vous et moi que les ragots, c'est ce que tout le monde préfère, au fond... »
Anita Goodrem, habitante de Salem.
« Quelle curieuse femme. Pas dans le sens mystérieuse, car je peux vous dire qu'elle n'est pas du genre à se cacher dans son trou, mais cette Scott me semble vraiment dangereuse à toujours vouloir TOUT savoir. Elle est comme une fouine qui met son nez partout et à cause d'elle, on se sentirait presque épiés dans Salem. Enfin... Ce n'est pas comme si cette impression était nouvelle ma foi, mais April Scott est une journaliste trop rentre dedans. Je l'évite au maximum, elle et ses questions trop indiscrètes sur notre vie, ou la vie des autres gens... Non mais de quoi je me mêle, moi ? La dernière fois que je l'ai croisée, elle m'a déballé une dizaine de questions sur diverses croyances surnaturelles. D'où sort-elle ça, sérieusement ? Je pense qu'elle n'est pas nette. Autant elle peut attirer les regards avec sa plastique hors norme, autant elle nous ferait fuir, avec sa curiosité malsaine et... débordante d'imagination. Non mais franchement, Salem était une petite ville tranquille il y a un an environ, et depuis quelques temps, on dirait que tout est en train de basculer, avec des gens comme elle. Qu'elle aille faire ses enquêtes ailleurs ! »
Dans un nid de serpents
Jake Hawkins feat Jake Gyllenhaal. Tous les deux, ils sont complémentaires, si on veut. Jolie façon de dire qu'ils n'ont presque rien en commun. Que ce soit au niveau de leur personnalité ou même de leur style journalistique. De toute manière, leur boulot n'est pas le même. Jake pense qu'elle n'est qu'une femme à ragots ; elle pense que Hawkins est une espèce d'ours solitaire trop sérieux. Mais au fond, ils pourraient s'apprécier, s'ils essayaient. Encore faudrait-il le vouloir et faire le premier pas. April est surtout bonne à le charrier et lui envoyer des piques. Mais tout ça n'est que surface... Qu'en adviendra-t-il ?
Cameron Bridgers feat Ellen Page. Deux fouines dévouées aux secrets dérangeants de Salem ne pouvaient que se rencontrer un jour ou l'autre ! En effet, April a fait la connaissance de Cameron alors qu'elle faisait une enquête auprès des élèves du petit lycée de Salem. Quelle ne fut pas sa déconvenue lorsque l'une d'entre eux, plutôt que de fuir les questions impertinentes, s'était plutôt mise à en poser à son tour, toutes aussi indiscrètes les unes que les autres. Il faut dire que Cameron ne se laisse pas démonter. Depuis cette étrange rencontre, les jeunes femmes se retrouvent souvent. Elles partagent leurs découvertes comme de vraies amies et n'hésitent pas à se donner des tuyaux. April a la puissance des adultes, Cameron peut infiltrer le réseau des jeunes. Une équipe qui gagne mais menacée par l'individualisme d'April et l'obsession légendaire de Cameron.
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Sujet: Re: LES JOURNALISTES
LES JOURNALISTES
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